Résumé
Aimeriez-vous travailler avec un cobot ? La relation entre l’homme et la machine avait déjà beaucoup avancé mais à cause de l’épidémie du Coronavirus, nous entrons dans une toute nouvelle ère qui va au-delà de la robotisation. D’ici 2030, la cobotique sera une notion que nous maîtriseront tous notamment dans le monde de l’entreprise.
Des êtres complémentaires
Terminé la peur d’être remplacé au travail par un robot. En effet, aujourd’hui nous sommes devenus des êtres complémentaires qui doivent collaborer pour faire avancer notre entreprise. C’est dans ce sens que le cobot va devenir petit à petit notre partenaire au travail. Cette collaboration aura un impact positif sur les salariés et aussi sur les sociétés.
Bientôt, il ne sera pas étrange de voir des équipes homme-machine qui fonctionneront ensemble pour optimiser la production. Différents cabinets de conseil pensent que cette relation va très vite se démocratiser au sein des entreprises gravement touchées par la crise sanitaire liée au Covid-19. Certaines simulations montrent que 1 employé sur 5 travaillera avec un IA (Intelligence Artificielle) d’ici 2022.
Une nouvelle phase
Avec l’IA, nous arrivons dans une toute nouvelle ère dans laquelle la relation entre l’homme et la machine va beaucoup évoluer. La répartition des tâches ne sera plus une évidence. Dans certaines situations, le cobot pourra décider des gestes à réaliser. Tout le travail en sera modifié mais il en sera surtout optimisé. L’objectif est de créer une collaboration intelligente et harmonieuse entre l’humain et la machine.
L’important est donc de s’assurer que l’homme et la machine pourront fonctionner en duo et surtout pas en duel. Effectivement, les risques de l’IA concernant la perte des emplois humains ne doivent plus peser sur le monde de l’entreprise.
Une véritable collaboration
Nous parlons ici d’une robotique collaborative aussi appelée la cobotique. L’objectif de ce mouvement est de fonder une collaboration intelligente entre l’homme et la machine en utilisant les atouts de chacun et en palliant aux possibles défauts de l’un ou de l’autre.
Par exemple, le robot est performant sur des tâches répétitives qui demandent puissance, précision et endurance alors que l’homme dispose de son savoir-faire pour effectuer des tâches moins mécaniques où sa capacité à réfléchir est une valeur ajoutée.
Actuellement, les robots ou cobots sont capables de saisir des objets et de les donner à un humain. Ils sont aussi dotés d’une certaine capacité d’apprentissage grâce à l’Intelligence Artificielle. Ils pourront donc nous être très utiles à l’avenir et notamment pendant l’épidémie.